terça-feira, 8 de setembro de 2009

La vérité et le temps

N'importe quel temps, personne a trouvé la certitude sur la vérité de ce qui est vrai - sans illusions transcendentaux, bien sûr. Ce n'est pas acceptable de donner une réponse limpide et incontournable. Cette question s'agit de deux concepts sur lesquels il n'y a pas de consensus. Les têtes plus privilégiées de la pensée occidentale ont consacré leur temps à la recherche de ce type de vérité. Et, après tout ça, nous sommes maintenant ici: sans vérité et sans temps.

Je ne crois pas à la notion de vérité, c'est-à-dire, de la possibilité d'apreendre ce que nous appelons réel. Pour nous, une chose ou un concept est vrai lorsque nous le réputons comme réel, quand nous nos certifions de son existence. Cette idée est admissible dans les cas des choses empiriquement demontrées, expérience fait dans un point certain du temps, avec les règles de la méthode scientifique. Mais ce cas sont rares et font référence aux choses plus tangibles du monde: la physique, la chimie, la biologie.

Le problème de cette pensée se déroule dans les verités ontologiques, les verités impalpables de l'être. C'est un univers vaste et complexe. Il y a sur ce monde chaotique, sans règles intelligibles, les sentiments, comme l'amour et l'haine, les désirs, les illusions, la creativité, l'imagination, la poésie, la religion - tout ça que nous constituent humains. Ces sont les vérités que nous attachons. Dans ce monde, la vérité est une illusion, et l'illusion est la vérité.

"Le désir", a écrit Shakespeare, "est le père de la pensée." Freud a crée sa théorie sur le fonctionnement de la psyché, la psychanalyse, en vue de la notion dont les désirs, nos vérités, sont gouvernées par l'inconscient, dans un lieu presque inapprochable pour la conscience. L'impulse de l'être pour expliquer lui-même et les choses du monde est paru sur la necessité de trouver signifié sans la reconaissance de l'inconscient, de nos désirs le plus profonds et, pour quelques-uns, immoraux. L'invention de la transcendance, de la religion, des dieus, de la morale se sont passé à cause de cette répression élémentaire: illusions prises comme vérités.

Je connais seulement une vérité, la seule verité vivante de nous tous: la certitude de la mort. Et le guardien implacable de cette vérité est le temps. La mort ne se soumet à rien.

2 comentários:

  1. Wow, on est déjà à ce niveau-là? Je suis étonée. Mais vraiment. :o)

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  2. Bravo! Mais il y a encore quelques petites erreurs. Rien de méchant.

    Isabela Pinho

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